Dans les rues de Sapa, des femmes hmongs proposent des souvenirs et aussi des trecks jusqu'à leur village.
C'est ainsi que nous avons rencontré Jeanne, qui nous emmène chez elle. Elle est accompagnée de sa mère (Thai) et d'autres filles du village. Nous comprendrons pourquoi elles sont si nombreuses lorsque, les pieds dans la boue, menaçant de tomber à chaque pas dans le ravin juste au dessous, elle nous tiennent la main dans les moments difficiles et nous aident à avancer.
Nous croisons des femmes qui portent de lourdes charges de charbon de bois ou de maïs ; qui elles, courent comme des lapins, juste chaussées de leurs bottes de pluie.
Comme prévu on ne voit rien, mais le chemin est une aventure en lui même ; nous nous concentrons sur nos pas et oublions les paysage qui sont censés nous entourer !
Le village de jeanne est le plus rustique qui m'ait été donné de voir. On n'y vit comme au moyen-nage. Les femmes font la cuisine sur un petit feu, la maison n'a pas de fenêtres, par terre c'est de la terre battue... mais tout le monde rigole bien !
Le soir, nous tentons de faire sécher les affaires près du feu de cheminée dans notre chambre (un fagot de bois pour la nuit - mais couverture chauffante... Le pied !)
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